Liste Complète des Cannabinoïdes Interdits en France – Mise à Jour 2025
En France, plusieurs cannabinoïdes ont été officiellement classés comme stupéfiants par l’ANSM.
Cette liste, mise à jour en 2025, regroupe des molécules jugées dangereuses, addictives ou mal encadrées.
⏱️ Temps de lecture : 7 minutes

Voici un récapitulatif complet des substances interdites à la vente, à la consommation et à la production.
🔑 Point Clés
- HHC, THCP, HHCPO, H4CBD : Classés comme stupéfiants depuis 2024.
- Cannabinoïdes synthétiques : Interdits pour leurs effets puissants et imprévisibles.
- Risque légal : Possession ou vente = délit passible de prison.
- ANSM & CEIP-A : De nombreuses alertes ont conduit à ces interdictions.
- Liste évolutive : D’autres molécules pourraient être interdites prochainement.
- ⚖️ Qu’est-ce qu’un cannabinoïde “interdit” en France ?
- 🧪 Les cannabinoïdes hémisynthétiques désormais illégaux
- 💣 Les cannabinoïdes synthétiques interdits
- 🧠 Pourquoi ces cannabinoïdes ont-ils été interdits ?
- 📜 Ce que dit la loi : textes officiels et décisions de l’ANSM
- ⚠️ Quels risques pour les vendeurs et les consommateurs ?
- 🔍 Comment éviter d’acheter ou vendre un produit interdit ?
- 🏁 Conclusion : Connaître la loi, c’est se protéger
- ❓ FAQ – Cannabinoïdes Interdits en France (Mise à jour 2025)
- Source 📚
⚖️ Qu’est-ce qu’un cannabinoïde “interdit” en France ?
Tous les cannabinoïdes ne sont pas logés à la même enseigne aux yeux de la loi.
En France, une molécule devient interdite lorsqu’elle est classée comme stupéfiant par l’ANSM (Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé). Ce classement entraîne l’interdiction immédiate de sa vente, de sa détention, de sa consommation et de sa production.
👩⚕️ Qui décide de ce classement ?
La décision repose sur un cadre réglementaire strict, en lien avec plusieurs instances de santé publique :
- L’ANSM analyse les molécules et propose leur classement.
- Les CEIP-A (Centres d’évaluation et d’information sur la pharmacodépendance – addictovigilance) signalent les cas graves liés à certaines substances.
- La MILDECA (Mission interministérielle de lutte contre les drogues et les conduites addictives) coordonne la politique publique.
- Et enfin, la DGCCRF et les douanes assurent le contrôle sur le marché.
🧪 Quels critères entraînent une interdiction ?
Une molécule peut être classée comme stupéfiant si elle cumule plusieurs des éléments suivants :
- Puissance psychoactive élevée (effets comparables ou supérieurs au THC)
- Effets secondaires graves : convulsions, troubles cardiaques, hallucinations, etc.
- Risque de dépendance important
- Manque de recul scientifique
- Structure chimique modifiée (souvent issue du CBD ou du THC)
- Origine synthétique ou hémisynthétique
👉 Dès lors que ces critères sont remplis, la molécule est inscrite sur la liste des stupéfiants par arrêté ministériel (ex. : celui du 3 juin 2024).
Et à partir de là, c’est tolérance zéro : production, vente, consommation = interdit = délit.
🧠 Pourquoi c’est important de s’en informer ?
Beaucoup de produits contenant ces molécules ont été (ou sont encore) vendus comme “légaux” sur certains sites ou en boutique… alors qu’ils ne le sont plus depuis leur requalification.
👉 Connaître la loi, c’est protéger sa santé et éviter les ennuis juridiques.
🧪 Les cannabinoïdes hémisynthétiques désormais illégaux
Les cannabinoïdes hémisynthétiques sont des molécules modifiées chimiquement à partir de composés naturels comme le CBD ou le THC. Le but ? Booster les effets (relaxation, euphorie, détente intense)… mais au prix de risques accrus pour la santé.
⚠️ Depuis 2023-2024, plusieurs de ces substances ont été classées comme stupéfiants en France, à la suite de signalements graves remontés par les centres d’addictovigilance (CEIP-A).
Voici la liste officielle mise à jour par l’ANSM, à jour pour 2025 👇
🔴 Liste des cannabinoïdes hémisynthétiques interdits en France :
🔹 HHC (Hexahydrocannabinol)
✅ Interdit depuis : juin 2023
➡️ Dérivé semi-synthétique du THC.
💥 Risques : effets psychoactifs puissants, confusion mentale, tachycardie, dépendance.
🔹 HHCO (Acétate de HHC)
✅ Interdit depuis : 2024
➡️ Variante plus puissante du HHC.
💥 Risques : effets amplifiés, malaises graves, cas d’hospitalisation.
🔹 HHCPO (Acétate de HHCP)
✅ Interdit depuis : 2024
➡️ Version surboostée du HHCP, elle-même proche du THCP.
💥 Risques : très forte interaction avec les récepteurs CB1, effets ultra-rapides et imprévisibles.
🔹 H4CBD (Tétrahydrocannabidiol)
✅ Interdit depuis : juin 2024
➡️ Dérivé du CBD censé être “relaxant +++”.
💥 Risques : nausées, vertiges, troubles cardiaques, interactions mal connues.
🔹 H2CBD (Dihydrocannabidiol)
✅ Interdit depuis : juin 2024
➡️ Autre forme modifiée du CBD.
💥 Risques : encore flous, interdit par précaution, en attendant plus de données.
🔹 THCP (Tétrahydrocannabiphorol)
✅ Interdit depuis : juin 2024
➡️ Jusqu’à 30 fois plus actif que le THC sur les récepteurs CB1.
💥 Risques : effets psychotropes très intenses, dépendance, altérations mentales fortes.
🔹 THCA (Acide Tétrahydrocannabinolique)
⚠️ Légal à froid… mais requalifié s’il est chauffé.
➡️ À l’état brut, non psychoactif. Mais une fois vaporisé ou fumé, il devient du THC.
💥 Donc si présence détectée dans une fleur ou une résine, risque élevé de requalification → produit illégal.
Ces molécules ont été développées pour contourner la législation… mais leurs effets sur le corps sont souvent trop puissants, mal encadrés et imprévisibles.
👉 Résultat : elles sont désormais considérées comme des drogues, au même titre que le THC.
💣 Les cannabinoïdes synthétiques interdits
Contrairement aux molécules issues du chanvre, les cannabinoïdes synthétiques sont fabriqués intégralement en laboratoire, sans aucune base végétale.
🎯 Leur but ? Imiter les effets du THC, souvent de manière encore plus puissante… mais avec une intensité mal maîtrisée et des risques majeurs pour la santé.
🚨 Pourquoi sont-ils si dangereux ?
- Effets psychoactifs ultra-forts
- Molécules instables
- Composition souvent inconnue ou incomplète sur l’étiquette
- Et surtout : aucune régulation fiable sur leur fabrication
👉 Résultat : des cas de convulsions, comas, troubles mentaux, et même hospitalisations d’urgence ont été signalés.
🔴 Liste des cannabinoïdes synthétiques interdits en France depuis 2024 :
🔹 5F-Cumyl-Pegaclone (a.k.a. 5F-SGT-151)
➡️ Molécule utilisée dans des poudres ou liquides vendus comme “weed légale”.
💥 Effets : hallucinations, crises d’angoisse, spasmes musculaires.
✅ Classé stupéfiant en 2024.
🔹 Cumyl-CH-Megaclone (a.k.a. SGT-270)
➡️ Variante chimique difficile à détecter dans les tests classiques.
💥 Effets : états confusionnels, fortes crises d’anxiété.
✅ Stupéfiant depuis 2024.
🔹 7APAICA & 5F-7APAICA
➡️ Présents dans des sprays ou “e-liquides boostés”.
💥 Risques : agressivité, convulsions, troubles mentaux violents.
✅ Interdits depuis 2024.
🔹 Cumyl-P7AICA & 5F-Cumyl-P7AICA
➡️ Nouvelles variantes très actives dérivées des APAICA.
💥 Risques : effets imprévisibles et puissants même à très faible dose.
✅ Interdits dès leur apparition.
🔹 BZO-Hexoxizid (MDA-19) & BZO-Poxizid (5C-MDA-19)
➡️ Retrouvés dans des substituts “spice” ou “K2”.
💥 Effets : perte de connaissance, douleurs thoraciques, confusion aiguë.
✅ Classés stupéfiants en France en 2024.
🛑 Ces molécules sont souvent cachées dans :
- Gummies “ultra relax”
- E-liquides “buzz légal”
- Résines ou fleurs “boostées”
- Produits étiquetés “HHC-like”, “effet THC légal” ou tout autre nom marketing flou
👉 Quelle que soit l’étiquette, si le produit contient une de ces substances :
il est illégal. Vente, détention, consommation = délit pénal.
🧠 Pourquoi ces cannabinoïdes ont-ils été interdits ?
Les interdictions prononcées en 2023 et 2024 par l’ANSM ne sont ni arbitraires ni exagérées. Elles répondent à une logique de protection de la santé publique, basée sur des alertes concrètes venues du terrain.
🧬 1. Des effets secondaires graves et imprévisibles
Les CEIP-A (centres d’addictovigilance) ont reçu de nombreux signalements liés à la consommation de ces substances :
- Vomissements violents
- Perte de connaissance soudaine
- Crises d’angoisse aiguës
- Convulsions et troubles moteurs
- Paranoïa, hallucinations, comportements agressifs
- Tachycardie, douleurs thoraciques, parfois associées à un risque cardiaque
- Cas de coma, voire d’insuffisance rénale
👉 Et souvent… ces effets sont bien plus intenses que ceux du cannabis “classique”.
🧪 2. Une puissance psychoactive hors de contrôle
Certaines molécules comme le THCP ou le HHCPO sont jusqu’à 30 fois plus actives que le THC sur les récepteurs CB1 du cerveau.
Résultat :
Des effets rapides, massifs, et impossibles à anticiper pour le consommateur lambda.
🧬 3. Une composition souvent floue ou trompeuse
Beaucoup de produits testés contenaient :
- Des taux de cannabinoïdes bien plus élevés que ceux annoncés
- Des molécules non mentionnées sur l’étiquette
- Des mélanges instables, mal dosés, sans aucun contrôle qualité
⚠️ Résultat : même un utilisateur averti peut se retrouver en overdose involontaire.
📉 4. Zéro recul scientifique = précaution maximale
Ces substances sont trop récentes pour qu’on en connaisse tous les effets à moyen ou long terme.
👉 Comme le dit la règle de base en pharmacologie :
Pas d’étude = pas de mise sur le marché.
🛡️ 5. L’objectif : protéger les consommateurs
Les autorités françaises (ANSM, MILDECA, CEIP-A) ont donc fait le choix d’une politique de précaution renforcée :
- Classer ces substances comme stupéfiants
- Bloquer leur distribution
- Informer et alerter les professionnels comme les consommateurs
Chez OG HUNTER, on soutient pleinement cette démarche 🙌
Parce que consommer du CBD, c’est aussi faire le choix de la sécurité, de la clarté… et de la transparence.
📜 Ce que dit la loi : textes officiels et décisions de l’ANSM
L’interdiction des cannabinoïdes listés plus haut ne sort pas de nulle part : elle repose sur un socle juridique solide, détaillé dans les textes officiels français.
Voici ce que vous devez retenir 👇
🗓️ 🔍 Le texte clé : l’arrêté du 3 juin 2024
Cet arrêté, publié au Journal Officiel, a marqué un tournant majeur en classant plusieurs cannabinoïdes comme stupéfiants, notamment :
- HHC, HHCO, HHCPO
- THCP, THCA (sous certaines formes)
- H4CBD, H2CBD
- Tous les dérivés synthétiques de type benzo[c]chromène (famille de structure chimique concernée)
👉 Il précise que leur production, leur importation, leur vente, leur détention et leur consommation sont désormais illégales.
⚖️ Quelle base légale ?
La décision de l’ANSM repose sur l’article R.5132-86 du Code de la santé publique, qui définit ce qu’est une substance stupéfiante.
Ce classement permet :
- Une interdiction immédiate de tout usage
- Une répression pénale en cas de non-respect
- Une surveillance renforcée sur le terrain (contrôles, saisies, etc.)
📍 Le cas particulier du THCA
💡 Petit rappel important :
Le THCA n’est pas automatiquement interdit… tant qu’il n’est ni chauffé ni transformé en THC et reste sous les 0,3 % de THC total.
Mais attention :
➡️ S’il est présent dans une fleur ou une résine destinée à être fumée ou vaporisée, il peut être requalifié comme THC pur, donc illégal.
C’est une zone grise, à éviter si vous vendez ou consommez en France.
📚 Références utiles pour aller plus loin :
- Code de la santé publique : Article R.5132-86
- Journal Officiel : Arrêté du 3 juin 2024
- ANSM : ansm.sante.fr → décisions et communiqués
- MILDECA : Suivi des nouvelles substances psychoactives (NPS)
⚠️ Quels risques pour les vendeurs et les consommateurs ?
Depuis le classement de nombreux cannabinoïdes comme stupéfiants, les sanctions légales sont claires, et surtout… sévères.
Que vous soyez commerçant, e-commerçant ou simple consommateur : voici ce que vous encourez en cas d’infraction 👇
🚫 Pour les vendeurs et professionnels du CBD
⚖️ Vendre un produit contenant une substance interdite = trafic de stupéfiants
Même si l’emballage affiche “CBD légal” ou “effet HHC”, c’est la composition réelle qui fait foi, pas l’étiquette marketing.
🧨 Risques encourus :
- Jusqu’à 10 ans de prison
- Jusqu’à 7 500 000 € d’amende
- Fermeture administrative immédiate du commerce
- Saisie des stocks, matériel, site e-commerce…
- Perte de confiance de vos clients… et de votre réputation
🧠 OG Conseil : Ne prenez aucun risque. Analysez vos produits, vérifiez vos fournisseurs, et exigez des certificats d’analyse clairs et complets.
😬 Pour les consommateurs
⚖️ Posséder ou consommer un cannabinoïde interdit = infraction pénale
Même si vous pensiez consommer un “CBD boosté”, ou si le produit vient d’un site étranger, la loi ne fait pas d’exception.
💥 Risques possibles :
- Amende forfaitaire de 200 €, majorable jusqu’à 450 €
- Garde à vue en cas de récidive ou de flagrant délit
- Mention au casier judiciaire
- Tests salivaires positifs, pouvant entraîner des sanctions si vous conduisez
👉 Rappel : l’ignorance de la loi ne protège pas. Il suffit d’avoir en sa possession un produit contenant une molécule interdite (même à l’insu du consommateur) pour risquer des poursuites.
📦 Cas fréquents à surveiller :
- Produits achetés à l’étranger (ex : USA, Suisse, Canada) non conformes à la loi française
- Gummies ou e-liquides contenant du THCP, HHC, HHCPO, etc.
- Produits boostés ou mal étiquetés, sans certificat d’analyse clair
- Résines ou fleurs contenant du THCA chauffable → requalification possible
🧠 OG Conseil : Privilégiez toujours les marques transparentes, qui publient leurs analyses de laboratoire, et qui respectent le cadre français ET européen.
🔍 Comment éviter d’acheter ou vendre un produit interdit ?
Entre les nouvelles molécules qui débarquent tous les mois et les étiquettes parfois floues, faire le tri entre produits autorisés et interdits peut vite devenir un casse-tête…
Mais pas de panique, voici les bons réflexes à adopter pour éviter les ennuis 👇
📄 1. Exigez toujours un certificat d’analyse (COA)
Un produit sérieux = un document clair, lisible et récent, fourni par un laboratoire indépendant.
Il doit mentionner :
- Le taux exact de CBD et de THC
- L’absence de cannabinoïdes interdits (HHC, THCP, etc.)
- Le nom du labo ayant réalisé l’analyse
👉 Pas de COA ? Passez votre chemin.
🧾 2. Lisez la liste d’ingrédients en détail
Certaines appellations cachent des molécules interdites. Soyez vigilant si vous voyez :
- “Hexahydrocannabinol”, “Acétate”, “THCP”
- “H4CBD”, “HHCPO”, “HHCP”
- Des noms chimiques flous comme “SGT”, “BZO”, “5F”, etc.
👉 Si le nom ne vous dit rien… googlez-le, ou abstenez-vous.
⚠️ 3. Fuyez les mentions marketing floues
Des expressions comme :
- “Buzz légal”
- “Effet THC-like”
- “Relaxation intense HHC” … sont souvent le cache-misère de molécules interdites.
👉 Un bon produit n’a pas besoin d’en faire trop pour être efficace.
🌍 4. Méfiez-vous des sites étrangers
Ce qui est légal au Canada, en Suisse ou aux États-Unis peut être formellement interdit en France.
➡️ La plupart des cannabinoïdes hémisynthétiques vendus à l’étranger sont requalifiés comme stupéfiants ici.
👉 Privilégiez toujours des sites basés en France ou en Europe, qui affichent leur conformité légale.
🛒 5. Achetez chez des vendeurs transparents et responsables
Les marques sérieuses :
- Affichent leurs analyses en toute transparence
- Répondent à vos questions
- Ne promettent pas des effets “drogue-like”
👉 Chez OG HUNTER, on trie pour vous ce qui est légal, testé et responsable ✅
🏁 Conclusion : Connaître la loi, c’est se protéger
L’interdiction de cannabinoïdes comme le HHC, le THCP, le H4CBD ou encore le HHCPO marque un tournant important dans la régulation du marché du CBD en France.
Ces substances, souvent présentées comme des alternatives “légales” au THC, se sont révélées trop puissantes, trop risquées, et trop mal encadrées.
👉 Depuis juin 2024, elles sont officiellement classées comme stupéfiants :
- Vente = délit
- Détention = infraction
- Consommation = dangereux
Mais pas de panique : il existe encore de nombreux produits CBD parfaitement légaux, sûrs et efficaces. Le tout, c’est de savoir où et comment les choisir.
🎯 En résumé :
- Informez-vous sur les substances interdites
- Vérifiez systématiquement les certificats d’analyse
- Fuyez les produits sans étiquette claire ou promesses trop belles
- Préférez les marques françaises transparentes et responsables
Chez OG HUNTER, on vous aide à distinguer le vrai du flou, pour que vous puissiez consommer du CBD en toute légalité, et surtout, en toute confiance.
🔍 Envie d’en savoir plus ?
➡️ Consultez notre Cannabinoïdes en 2025 : Ce qui est Légal ou Interdit en France 🇫🇷
❓ FAQ – Cannabinoïdes Interdits en France (Mise à jour 2025)
Vous avez encore des doutes sur la légalité de certaines molécules ? Voici les réponses aux questions les plus fréquentes 👇
Source 📚
- L’ANSM inscrit de nouveaux cannabinoïdes sur la liste des stupéfiants – Juin 2024 – ANSM